PMR Records

Qu’on se le dise franchement, PMR Records aura marqué les années 2012-2013 et laissera une trace dans l’histoire de la musique électronique. Qui, cette année, osera dire qu’il n’a pas dansé une seule fois, ou au moins tapé du pieds, sur les morceaux de Disclosure ? Pour les garçons, qui ne s’est pas dit au moins une fois: “Jessie Ware elle est vraiment trop b***e” (stop les insultes, on est assez passé pour les misogynes de la journée). Bref, que ce soit les deux frères Lawrence, la belle Jessie Ware, Cyril Hahn et ses remixes de Destiny’s Child, Sam Smith et son “R’n’B de blanc”, PMR Records se transforme progressivement en usine à tubes mais avec un style particulier. Parce que PMR c’est quand même beaucoup trop cool, et ça, c’est surtout grâce à ce bon vieux rouquin de Julio Bashmore qui, malgré sa dégaine de bon lads de Bristol, sait tenir sa baraque.

Suffisamment pour que même les américains s’intéressent à lui et que Noisey, lui accorde, à lui et son équipe d’artistes, un reportage tout entier. Le documentaire de 25 minutes a été filmé durant leur passage à la dernière édition de Coachella. On n’y apprend pas grands choses, à part que Coachella quand tu es artiste ça a l’air vraiment trop frais, mais c’est juste histoire de… Longue vie à Julio et longue vie à PMR.

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