Crédits Photos Genny Darko

La playlist d’aujourd’hui met à l’honneur une formation lyonnaise née l’an dernier, Spawner in the Works. Leur premier concert a eu lieu dans la mythique salle du Ninkasi Kao en janvier. Cette rampe de lancement est signe de belles augures… Laissons Clément, guitariste du groupe, et son fidèle destrier, sa Telecaster, s’exprimer.“Au départ duo basse-batterie, plus tard rejoint par une guitare, Spawner in the Works, trio instru basé à Lyon, n’a qu’un seul objectif : faire danser. Les influences du groupe étant celles de ses membres, voici donc une playlist à 6 mains, qui reflètent les inspirations groove-funk du groupe, aussi bien que le passé de métalleux hargneux des 3 larrons.”Jibé (batterie)
The Brecker Brothers – Skunk Funk
Une sorte de catalogue funk, avec les arrangements types, et les rythmes et plans immuables, une porte d’entrée idéale pour se faire une idée du potentiel du genre.
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Lalo Schifrin – Dirty Harry Theme

L’énergie du funk sublimée par un thème mythique, supporté par des arrangements calibrés d’une efficacité sans faille. En clair, ça met la trique.

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The Mars Volta – Take the Veil Cerpin Taxt

Parce que le jeu de Jon Theodore à la batterie est imparable de richesse et de justesse et que ce morceau fleuve conclut parfaitement cet album unique.

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Clément (guitare)

Rien – Il ne peut y avoir de prédiction sans avenir

Un morceau instrumental fleuve passionnant, fourre-tout incroyable mêlant de la balade assez classique à des rythmes tropicaux, qui résume assez bien l’esprit de ce groupe virtuose (au passage, leurs albums sont en libre téléchargement sur le site de leur label, l’Amicale Underground).

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Faraquet – Study in complacency

Un jeu de guitare unique, à l’énergie punk mais au feeling jazzy, servi par une section rythmique à la précision métronomique, et donc une irrépressible envie de bouger la tronche dans tous les sens.

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Q and not U – Hooray for humans

La définition du disco-punk, dans la veine des Rapture ou Radio 4 (quoique plus du côté punk, j’avoue) : des guitares furieuses et des rythmes accrocheurs faits pour danser.

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Mathieu (basse)

Primus – Tommy the cat

La seule chanson capable de faire danser la polka à une armée de grabataires.

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Faith no More – Ugly In The Morning

La seule chanson qui me hérisse encore le poil après plus de 500 écoutes.

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Victor Wooten – What Did He Say

La seule chanson qui m’a fait comprendre que je ne jouerais jamais vraiment de la basse.

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Red Hot Chili Peppers – Stone Cold Bush

La seule chanson avec solo que j’ai réussi à reprendre (merci Deedar)

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